The Crow Curare par James O’Barr et Antoine Dodé chez Vestro
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The Crow Curare par James O’Barr et Antoine Dodé chez Vestro
The Crow Curare par James O’Barr et Antoine Dodé chez Vestron.
Quand James O’Barr décide, en 2013, de prendre à contrepied The Crow, sa propre série à succès, en en cassant les codes et en en brisant les règles, ça donne une récit sombre poisseux et inattendu. Inspiré d’un fait divers glauque qui a marqué l’auteur, il renoue avec l’esprit de son premier The Crow qui lui avait servi à exorciser un drame personnel. De nouveau il couche sur le papier tout le malaise et la poisse que lui inspire un drame bien réel. Le résultat est une enquête policière sombre et morbide, qui rappelle plus From Hell, Zodiac, New York Police Blues ou True Detectives que les incarnations précédentes de son héros vengeur.
Pour ce récit, James O’Barr a souhaité confier le dessin à un autre, et par les hasards des connaissances et des six degrés de séparation, il est tombé sur le jeune français virtuose Antoine Dodé. Le trait particulier d’Antoine, à la fois lâché, souple, plein de mouvement et incroyablement juste et précis ainsi que le gros travail sur les couleurs et les ambiances nous plonge implacablement dans les entrailles de cette enquête dans les rues sombre de Detroit. Un petit bijou à découvrir.
Quand James O’Barr décide, en 2013, de prendre à contrepied The Crow, sa propre série à succès, en en cassant les codes et en en brisant les règles, ça donne une récit sombre poisseux et inattendu. Inspiré d’un fait divers glauque qui a marqué l’auteur, il renoue avec l’esprit de son premier The Crow qui lui avait servi à exorciser un drame personnel. De nouveau il couche sur le papier tout le malaise et la poisse que lui inspire un drame bien réel. Le résultat est une enquête policière sombre et morbide, qui rappelle plus From Hell, Zodiac, New York Police Blues ou True Detectives que les incarnations précédentes de son héros vengeur.
Pour ce récit, James O’Barr a souhaité confier le dessin à un autre, et par les hasards des connaissances et des six degrés de séparation, il est tombé sur le jeune français virtuose Antoine Dodé. Le trait particulier d’Antoine, à la fois lâché, souple, plein de mouvement et incroyablement juste et précis ainsi que le gros travail sur les couleurs et les ambiances nous plonge implacablement dans les entrailles de cette enquête dans les rues sombre de Detroit. Un petit bijou à découvrir.
stefan- Maître Yoda
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